Frere K Barbe de maître
Nombre de messages : 287 Localisation : \ Emploi : garde chiours à plein temps maintenant Loisirs : jdr, raku, lecture, comics, ciné
| Sujet: Une banque au système de sécurité High-Tech Dim 3 Juil 2011 - 22:54 | |
| Une banque au système de sécurité High-Tech Union pacific avenue. Une avenue passante et côtoyée par des milliers d'habitants chaque jour, a connu hier une issue étrange à un braquage qui aurait pu être dramatique. Hier, à quinze heure trente environ. La banque de l'avenue qui perte son nom, la Union Pacific Bank a été le théâtre d'un braquage. Alors que tout se passait bien dans la banque, trois individus qui s'étaient introduits dans la banque sous couverts de se faire passer pour des clients ont réussi à faire passer des armes d'origine inconnue et ont pris d'assaut la banque dans le but d'en dérober le butin. En effet, en quelques instants, les trois individus ont sorti des armes de sacoches de de cuir destinées à la base à transporter des ordinateurs et ont menacé les employés et les clients avec des pistolets mitrailleurs dont la furtivité n'a même pas activé les portails censé détecter les métaux. Une fois les armes en main, les trois braqueurs ont répartis leur tâche en se focalisant sur les guichetiers, les clients le le dernier s'est dirigé vers le bureau du directeur afin de lui faire ouvrir le coffre. Les clients ont été placés avec virulence contre le comptoir de l'accueil de la banque et les guichetiers ont tous été placés, eux, juste devant la porte de sortie par l'arrière afin que les malfaiteurs puissent utiliser cette voie et sortir avec des otages ou attendaient un quatrième qui faisait office de chauffeur. C'est alors que les clients adossés au comptoir ont vu entrer un client. Celui ci semblait assez peu surpris par la disposition des clients qui ne laissait aucun doute quant à l'événement qui venait de se dérouler. L’individu s'est naturellement dirigé vers le premier malfaiteur qui sans même l'invectiver, s'est retourné et a fait feu de son arme sans même tirer un coup de semonce comme le faisait les cambrioleurs de ces temps où même les plus crapuleux gangsters avait la bonté de mettre en garde leur otage contre une éventuelle mise à mal du récalcitrant... C'est alors que le malfaiteur en question qui était en charge de surveiller les clients, s'est mis en position de tir et à vider la quasi-totalité de son chargeur sur le nouvel arrivant. L'homme, vêtu d'une façon peu habituelle (un juste au corps anthracite et une cape rouge), s'est mis à se déplacer comme un chat et d'une fluidité et d'une vivacité conférant à la panthère les faiblesse de la tortue. les balles fusèrent et les pilonnes de marbres d’Italie des abruzzes et les murs de grès se sont vus littéralement déchiquetés sous les impacts destructeurs de ces armes sorties de nulle part. Mais contrairement au mobilier de grand luxe, l'homme était indemne. Il s'était approché de son agresseur avec une telle aisance que le fait de parler de mirage n'était pas un mince mot pour ce pauvre cambrioleur qui n’eut que le temps de se voir désarmer et, d'un tour de passe passe, se fit attacher en quelques mouvements par la sangle de sa propre arme d'épaule. Alertés par les coups de feu, les deux autres arrivèrent en trombe. Celui qui s'était dirigé vers le bureau du directeur avait son arme ensanglantée au niveau de la crosse. Le temps que ces deux mercenaires urbains fassent feu, l'homme s'était dirigé loin des clients pour que ceux ci ne soient pas blessés. Un sorte de bourrasque s'était engouffrée dans le hall de la banque et la force du souffle avait déséquilibré les deux gangsters restants alors que l'homme providentiel et justicier improvisé avait eu le temps, par une chance inouïe, de se cacher derrière une colonnade au moment même ou le vent était entré dans la banque et avait mis en faiblesse les deux cambrioleurs. Le temps qu'ils retrouvent leur équilibre, l'homme qui se dressait devant eux les avait empoignés et avait fait une sorte de coup de boxe thaïlandaise en faisant un balayage au sol de sa jambe et fait passé l'intégralité du corps du malheureux qui se retrouvait les quatre fers en l'air par l'ouverture de la sangle de son arme. Le dernier qui restait, avait tenté d'empoigner une pauvre grand mère qui venait là pour retirer des sous pour sa jeune petite fille qui n'avait pas pu acheter les derniers billets de concert de P!nk car elle n'avait pas reçu sa paie à temps. Le dernier criminel, donc avait attraper cette pauvre femme à l'âme généreuse mais avant que celle ci soit entre ses mains et qu'il lui pose son arme en joug sur la tempe et l'utiliser comme bouclier et monnaie d'échange, le jeune homme samaritain et presque inconscient de la situation qui se déroulait depuis quelques instants devant lui, avait shooté dans le sac de la pauvre dame d'un coup tellement puissant que le sac de la vénérable s'était enroulé autour du canon et du bras du braqueur malchanceux e,t après une trajectoire parabolique parfaite, le sac était venu assommé le dernier de ces ouvriers du mal. Il avait fallu une sacré force et une sacrée chance pour voir que dépassait du sac, une petite statuette de plomb représentant une danseuse et qui avait fait office de leste pour réussir à assommer ce dernier malfaiteur sans utiliser une autre arme que la ruse. Les otages n'eurent pas le temps de se rendre compte qu'ils étaient libres et sains et saufs que le jeune homme qui leur avait peut être sauvé la vie s'était enfui comme il était venu. Son visage fut à peine filmé par les caméras de surveillance et encore partiellement seulement, et les otages n'eurent que peu de temps pour voir et se souvenir de celui qui avait agi si vite et en un laps de temps si court qu'aucun portrait robot n'eut de concordance n'etre les différents témoignages pris sur place. On s'accorde à dire dans les services de police que cet homme n'a pas intérêt à être identifié car l'insigne chance dont il a bénéficié est d'une inconscience qui ne suscite que le mépris. néanmoins, les otages ne sont pas si rudes au sujet de leur sauveur qu'ils remercient et certains pensent qu'il s'agit d'un maître d'art martiaux ou pour une analyse plus fine et avec moults arguments de la part de cette vieille dame agressée, qu'il s'agit très certainement d'un footballeur. Si les banques étaient toutes dotées de ce genre de garde, les systèmes d'alarmes deviendraient obsolètes. Néanmoins, ce n'est pas le cas, L'électronique à ses faiblesses mais celle-ci ne commet pas d'imprudence selon la police. L'inconnu restera dans le souvenir de ces clients de la Union Pacific Bank mais c'est tout. Un inconnu parmi tant d'autres.
Par Mike Willard pour le National Exposer. _________________ "Dieu ne joue pas aux D avec l'univers. Moi si" Grant Morrison
| |
|