Tout commença un soir de brume dense, un de ces soir où la fumée de la Grande Fonderie semble être une brise comparée au smog étouffant de la Cage. Cette nuit, après antépic, j'ai eut un cauchemard. Bien que ce mot ne soit rien en comparaison de ce que je vit. Dans ce monde onirique mais pas moins réel, je la vit pour la première fois. Elle, La Dame. Dans un petit jardin aux ronces et roses, par un beau jour de brume inexistante. Je pouvait voir l'anneau du Multivers dans toute son immensité. De tout côté il y avait Sigil. Et je la voyait, Elle, couper des roses avec ses doigts. Au moment où je me rendis compte qu'elle flottait, je sortit de ce monde en sueur et tremblant de peur.
Ce rêve récurent changeait parfois. Il me montrait une discussion entre Elle et un homme, des dabus faisant office de serveur et apportait thé et biscuit. Je mourait chaque fois qu'elle posait son regard sur moi. Une autre fois encore, les dabus me regardaient "par dessous" , la foule s'écartait à mon passage, et mon ombre tranchait et coupait.
Ne pouvant plus supporter ces rêves, je chercha des informations sur ces derniers. Je demanda à Règle-De-Trois, l'Empereure de la Cage, la source de ces malaises nocturnes. Il me répondit par une question "Qui est la Cliquetante?". J'alla jusqu'à me perdre dans le labyrinthe du Bordel des Flammes Froides. Et je peux le dire, c'est en se perdant qu'on peut (se) trouver.
Là je vit une gueunaude, vieille, sale, peu recommandable, comme toute les gueunaudes.
Mais ce qu'elle me dit changea tout. Elle me dit que la Dame et la Cliquetante ne sont qu'une, elle me racontat l'histoire de l'Oiseau Superbe et de sa Cage construite autour, j'apprit que j'était l'enfant et elle une bergère. Puis elle m'arrachat les yeux, me lacèra le corps et me tua.
Je me réveilla dans une cellule de l'Asile de la Loge couvert de cicqtrices et aveugle. Voilà comment j'ai perdu la vue pour mieux voir.