Je suis étendu sur de l’herbe grasse, le soleil couchant dans mon dos reflète la beauté du paysage des vastes plaines de Géorgie, mon œil gauche blessée et tuméfiée et fermée, et le droit et calée dans l’objectif du viseur de mon big sharp, en ce moment je fais le point sur le campement de trois enfoirées, Randall Billy et le petit Henry !
Ces vermines je les avais rencontrée, il y a deux jours quand ils ont abordé mon camp, cela faisait un mois, que je mettais retirais de la civilisation pour chasser les bisons j’avais pour ce faire mon Fidele cheval Appy ,un chariot tiré par deux mules qui contenaient de quoi saler ou mettre en saumure ma viande de quoi tendre et traiter les peaux..
J’avais même fait la bêtise de prendre une aide cette fois, un petit jeune de la ville du nom d'Horace, un jeune orphelin qui cherchait à se faire quelque dollar, pendant les trois premières semaine nous avions appris à faire connaissance,je m’étais habituée à sa présence à nous discutions, il ne cessait de me narrer les aventures de ces héros de romans à deux sous notamment une de cette lire préférée l’histoire de black betty le desperado de l’ouest , il me contait les exploits de cette femme as de la gâchette, la nuit quand les trois salopards son arrivée !
Je les avais pas entendu, il était arrivée dans la nuit et le silence, il sentait la gnole merdique et le tabac à chiquer froid, des chasseurs de bisons qui étaient bredouilles des putain d'amateurs qui pensaient qu’un bison ça s’abattait comme un putain de cerf, a un moment l’un d'eux le petit Henry je crois ma proposait un échange un tonnelet de madère contre mes peaux et ma viande;quand je leur ai faits poliment remarqués que l’échange n’était en rien équitable et que son soit disant madère n’était visiblement que du mescals mexicain salement trafiquée ils ont joué les offensée me traitant de menteur et exigeant des marchandises en excuse.
Il était trois et armée mes armes à moi étaient sur mon cheval à par mon couteau Qui me servait à découper ma viande, j’avais bien compris que j étais foutu je comptais négocier pour pas que ce fumier me dépouille entièrement et soudain je vis Horace bondir sur le petit Henry le traitant de voleur et lui décochant un fabuleux coup de poing , un acte héroic digne de ces héros de roman mais malheureusement, en face des héros il a de salaud et il se mire à deux à tabasser ce pauvre gamin, oh moment où j’ai voulu m’interposer ce gros fumier Randall mon fichu un coup de crosse de winchester en pleine pomme ce qui me fit m’écrouler sur place, ces a semi-conscients que je vis ces salauds s’acharner sur Horace
quand j’émergeai de ma douleur c’était pour assister impuissant au dernier soupir d’Horace il s’étouffera dans son sang battu à mort, mon fidèle Appy avait pris la fuite à cause de la violence , je le retrouvais facilement et retrouver la trace de mon chariot tout aussi facilement .
Ces comme cela que je me retrouvais allongé dans l’herbe une bige sharp pointait sur le crâne du petit Henry, je pris mon temps je respire et j’attends le bon moment le moment propice , le big sharp et une arme exceptionnelle longue distance fabuleux pouvoir d’arrêt, il peut immobiliser la charge d’un bison d’un coup mais elle est longue à recharger ;du coup quand le petit Henry s’immobilisa pour boire une tasse de café là c’était le moment, d’abord le coup de feu ensuite vient la fumée et je vis la tasse de café éclatée suivit du crâne du petit Henry et enfin la brume de sang .
Les compères du petit Henry se mirent à paniquer il cherchait qui avait faits cela, je vis Randall se précipiter ers le nuage de fumée provoquée par le big sharp un winchester a la main qui commençai à arroser à tout va-moi je profiter des hautes herbes pour me cacher, Randall se précipita et il ne m’avait pas vus, je dégainai mon bowie et un coup de couteau dans les jambes au niveau du talon d’Achille le fit chutait dans un hurlement un coup au niveau du cœur le réduisit au silence
quand Billy comprit que c’était la merde il décida d’enfourner son cheval et de foutre le camp comme s'il avait le diable aux fesses je récupérai le winchester de Randall et fis feux il ne restait que deux balles, je voulais pas prendre de risque je visais le cheval la premier balle na pas touchait mais la deuxième vient se planter dans le jarret du cheval ce qui fit cabrer le cheval, Billy chuta lourdement et je l’entendis hurler..
Je m’approche avec la plus grande prudence et je dégaine mon revolver Griswold et quand soudain j’aperçois Billy je vis que la chute lui avait brisé la jambe, il commença à me supplier de ne pas le tuer qu’il ne portait pas d’arme et qu’il accepte de se rendre .
J’allais pour emmener ce salaud à la ville la plus proche quand je vis soudain dans la poche avant de son pantalon un roman a deux sous intitulés weird cowgirl , Betty of mustang mesa, le livre d’Horace .
Je pris le roman et tirai deux balles dans le crâne de Billy, une seule justice pour tous les salopards, je repris mes affaires et je partis.
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On obtient plus de choses en étant poli et armé d'un bolter qu'en étant juste poli".