Des bout de papier flottant comme un million de papillons tombe sur sigil la brumeuse, sur ces papier ont peut lire
Le son de la cage bat sous mes pieds, pour la première fois depuis longtemps, près du parc de gemmesang s’élevait autre chose que la fumée toxique de la grande fonderie, un son.
Le son des chants d’adorations et de clameur, une dévotion fiévreuse et touchante comme la naïveté d’un amour de jeunesse, un chant d’amour et d'extase de quelque dévot en l’honneur de celle qui vénère….
Les cons
« Ceux qui vénère la dame » voilà comment se nomme ce groupe, ah merde excuser mois se nommer je devrais dire, et oui ils ont était gravée dans la marbre le jour même.
Peut-être que vous était au courant ou peut-être pas ou peut-être que vous vous en foutiez, mais voilà ils sont mort … parce que ils ont vénérée la mauvaise chose.
Et vous savez ,je croyais que je m’en foutrais ,que j’en avais déjà trop vus et trop écrit mais merde ça me relance comme la petite vérole ,car j’ai vus plus horrible que le massacre de ces pauvre grand enfant qui ne cherchait qu’un but à leur vie ennuyeuse, j’ai vus ce qu’il y avait après , le regard des parents cherchant désespéramment le visage de leur fils, l’horrible commerce des récupérateurs qui pour eux cadavre rime avec mauvaise bouteille et passe minable, les pleurs d’une jeune fille qui reconnait le cadavre découper de sa voisine ,j’ai vus tout cela et maintenant vous savez.
Je trouve cela injuste parce qu’ils ont vénérée la mauvaise créature, parce que les règle ne sont définis que par ceux qui ont fait le système, parce que sigil ne doit sa superbe que a ces habitant et que le système les détruit.
Je décide de prendre ma plume et de gratter le papier pour vous montrer sigil sous sont vrais jour, je m’appelé Babylon , j’ai voyagée de Tanelorn a Aïra, j’aime et je déteste la ville dans lequel je traine, les rue me parle et moi je vous répète tous ce qui me murmure, je vais vous dire des choses horrible et belle et je vous dégoutterais et vous me détesterez surement mais je vous dirais toujours la vérité.