Les choses avancent : dernier gros morceau, je travaille actuellement sur la compilations et la mise en forme de ce qui concerne les divinités. Un mot tout d'abord des trois puissances qui sont considérées comme les plus intrigantes de toutes, elles ne possèdent ni clergé, pour ce que l'on en sait, ni même adorateurs proclamés parmi les mortels mais sont au moins connues, ne serait-ce que de nom, même dans les bleds les plus isolés des plans.
Masha et Yméra : ils étaient là au Commencement, la chanson dit que ces deux là sont la Cause Première du Multivers et que seuls les Anges possèdent quelques bribes de connaissance a leur sujet, mais ne jugent pas les mortels dignes de la partager. Leur simple nom est considéré comme porteur d'une si grande magie qu'il n'est invoqué que pour prononcer les plus sévères des malédictions ou les plus sacrés des serments.
Notre Dame des Douleurs : Sa Sérénité, gardienne et maitresse de la Cage n'est l'objet d'aucun culte connu d'ailleurs celui-ci est formellement interdit. Tantôt la chanson prétend qu'il s'agie de Loviatar la patronne des bourreaux, tantôt qu'il s'agit d'une Taanar'Ri qui aurait usurpé les pouvoir d'Aoskar le dieu des portes. Il y en a pour dire qu'elle se cache et d'autres encore pour soutenir mordicus qu'elle est l'émanation même de la volonté de Sigil. Mais la vérité c'est que ceux qui ont des indices a ce sujet se gardent bien de les révéler. Il n'y a, aussi loin qu'on s'en souvienne, qu'une occasion où elle s'est donnée la peine de répondre aux suppliques qu'on lui ait adressé, lorsqu'il y a deux siècles les plus hauts représentants des faction sollicitèrent sont aide contre celui qui menaçait de s'assurer l'hégémonie sur la Cage (Vartus Timlin) mais certains chuchotent qu'elle aurait sans doute mis un terme a ses ambitions même sans cela. Si elle se mêle des affaires de Sigil ce n'est jamais que parce qu'elle l'a décidé et si ses motivations restent mystérieuses ses méthodes ne sont jamais plaisantes et jamais elle n'exerce son pouvoir au delà de la ville. Les dabus (ces étranges cantonniers) passent pour être autant ses instruments que ses protégés. Ceux qui l'ont contrariée finissent souvent prisonniers de ses Dédales quand on ne retrouve pas des fragments de leurs corps lacérés éparpillés a travers les rues sans autre forme de procès. On raconte qu'il arrive qu'elle se promène de par les rues et qu'il vaut mieux, si l'on tient a la vie, fuir sans regarder en arrière de peur d'entrapercevoir son ombre acérée.
Les autres sont pour la plupart organisés sous forme de "famille" au sein duquel elles partagent des préoccupations ou intérêts communs. Celles présentés ici sont considérées comme les plus communes mais il ne s'agit en aucune manière d'être exhaustif. Certaines races comme les Illithids, les orcs ou les elfes et parfois certains groupes sociaux comme les Factions rendent un culte a des divinités spécifiques, ils ont étés regroupés au seins des panthéons dit "majeurs" a chaque fois que celà s'est avérés possible.
Æsir et Vanirs : le panthéon bicéphale porte les noms des lignées de géants dont il est issu. Les Æsir sont farouches et batailleurs et furent très vite adoptés par les mortels qui les élevèrent au rangs de dieux. Les Vanirs, plus sages, passent pour être les parents des premiers et se tiennent loin des regards et des affaires humaines ce qui ne les rend pas moins puissants, plus occupés a cultivant la beauté et la paix de leur sanctuaire.
Anciens Dieux : enfants des deux premiers Dieux, une grande division serait survenue, quelque chose qui aurait a voir avec l'enseignement de la magie aux mortels sans que qui que ce soit n'ait de certitude. Bannis du monde, morts et flottant dans l'Astral ou emprisonné en un lieu secret, la majorité de ces puissances n'ont plus d'adorateurs car qui donc se souvient de Ki l'ami des Lions et d'Utu le sans égal, d'Ansar au manteau de nuit et de Druaga aux deux trônes, de Girru le gardien de paradis a l'épée flamboyante, de Nergal qui siègeait tête en bas et dirigeait le monde du dessous ou de Ramman le berger des nuages ?
Arvandor : les héros Eldarins simplement nommés Eldars, sont par le savoir accumulés et leurs exploits si ce n'est les pairs des dieux au moins d'une réputation égale, ils président a l'origine des principaux lignages elfiques.
Asathalfinare : du nom du traité de paix qui unit les puissances maritimes de bonne volonté et leurs sujets dans une relative concorde, bien que celle-ci soit fragile elle ne s'étend pas encore a tous les habitants du monde aquatique et requiert les efforts de chaque instant de Sashela d'Arvandor et de ses prêtres et pour apaiser les tensions qui surviennent parfois et réparer les accrocs occasionnels.
Bureaucratie Céleste : répandu a travers d'innombrables mondes primaires, ceux là se sont donnés pour mission de veiller a la bonne marche du multivers. Ils édictent des lois pour les mortels et les éléments, veillent a leur respect, jugent des actions des uns des autres, tempèrent les velléités des autres dieux et d'une manière générale administrent toutes sortes de choses.
Ceux-qui-Dorment : de rares indices laissés dans les fragments oubliés de tablettes maudites, des phrases allusives et sibyllines dans d'obscures grimoires blasphématoires mentionnent ces entités monstrueuses. On trouve une trace de leur survivance dans les cultes sacrificiels que leurs adressent encore certains peuples parmi les plus primitif et dégénérés. Pour les mieux connus d'entre eux les mythes qui en font état les décrivent comme plongés dans un profond sommeil dont ils n'émergent que lors de certaines conjonction planaires pour semer la dévastation avant de s'assoupir a nouveau. D'autres comme Ubbo-Sathla la Source Primordiale de la Corruption ou Y'bb-Tsstl aux Nombreuses Mamelles et Nourrice des Maigres Bêtes de la Nuit, qui ne sont plus connus que par leur nom qui suffisent néanmoins a susciter un obscur éffroi.
Dieux Morts : terme générique qui désigne les innombrables cadavres de puissance pétrifiés flottants dans l'Astral.
Diables : les plus hauts princes des fosses du Baator ont su s'élever au rang des dieux. Sur les neufs tyrans qui dirigent chacune des strates infernales seul les noms de sept d'entre sont connu. Ils font l'objet d'un culte publique et malgré leur nature profondément malveillante ils sont en quelque sorte devenus populaire, notamment grâce aux présents qu'accordent leur clergé a se qui se montrent dignes de distinction.
Fomorians : la chanson dit que les premiers géants étaient pour ainsi dire des demis dieux. Dans leur orgueils ils voulurent assujettir les races plus jeunes a leur volonté, ceci conduisit a la rébellion des peuples fées et a l'alliance des races mortelles contre eux qui les mena a la défaite.
Gnomeregan : les divinités turbulentes du peuple Gnome ont pour ainsi dire grandit a leur cotés, un peu a l'instar de leurs lointains cousins nains. Les récits extraordinaires qui content leurs exploits et leurs désastreuses conséquences, leurs inventions merveilleuses ou leurs fanfaronnades imprudentes sont innombrables, et a en croire les mauvaises langues, pour beaucoup fantaisistes.
Gargouilles : patrons des races de maraudeurs qu'il s'agisse des Gobelins, des Orcs, des Gnolls ou des Kobolds. Elles sont sans cesses divisées en incessantes querelles et guerres intestines, la plus féroce est celle qui oppose les armées de Gruumsh et de Maglubiyet sur les cubes d'Acheron. Pour la plupart des biges il est de prime abord difficile de faire la différence entre l'une ou l'autre tant elles parraissent toutes aussi détestables, féroces et barbares.
Grands Vers : parmi les plus formidables créatures qui soient les plus fantastiques sont les dragons et tout particulièrement les plus vieux d'entre, parmi ces derniers là certains concentre les espoirs et les craintes des mortels a un tel point qu'ils en sont devenu l'égal des Puissances.
Guédés : chassés de leur demeures jumelles d'Arcadie et d'Achéron par des forces plus neuves comme les Dieux Orcs et Gobelins et l'Ordos, ces puissances se sont réfugiés dans le Nacaal leur sanctuaire du Plan Primaires (le terme signifie quelque chose comme "Ombilic de l'Âge Encore-A-Venir), leur géniteur a tous Ometeotl, "le Proche et le Lointain", ayant été tué dans la déroute. Celui ci serait situé sur un monde que les mortels nomment Chislev, c'est un lieu d'expériences ou selon la chanson ces divinités œuvrent a préparer un renouveau du multivers. En majorité ce sont des puissances duales qui présentent chacune de forts aspects aussi négatifs que positifs et cyclique en ce qu'elle connaissent fréquemment des période de mort et de renaissance.
Guringcraag : le terme nain polysémique qui désigne autant la Grande Montagne que ses habitants, bien que toutes les puissances de ce race n'y aient pas élu domicile, loin s'en faut, elles sont plus couramment nommés ancêtres par leurs adorateurs. Ce panthéon recouvre également les puissances des Duergars bannis et amers, comme celles des Derros cruels et malveillants.
Halfelins : considéré a juste titre comme l'un des plus modeste panthéon, au propre comme au figuré, leur sanctuaire n'est guerre plus grand qu'une ferme pourvu de quelques arpents de terre bien entretenus. Les puissances timides et courageuses qui le constitue ne sont pour ainsi dire vénérées que par les petites gens.
Jiharan : les Gith' sont un peuple profondément religieux, leur histoire tumultueuses depuis leur victoire contre l'oppresseur Illithid jusqu'a la guerre civile et l'exode d'une partie d'entre eux qui s'ensuivit a donné naissances a une mythologie antagoniste où chacun des deux camps révère comme un dieux en puissance son propre chef. Les sombres puissances tutélaires de leur ennemis ancestraux y figurent également en tant que démons craints et dont le nom n'est jamais évoqués qu'a voix basse.
Kamis : en Terre des Bêtes vivent des animaux exceptionnels représentant parfaits de leur espèce, d'une taille hors norme, élus parmi leur race et leur autorité s'exerce sur chacun de ses représentants. Ils sont parfois l'objet de culte, bien que la plupart ne se préoccupent en rien des affaires humaines, se bornant parfois a intervenir lorsque ceux-ci s'en prennent aux bêtes de leur espèce dans leur habitat naturel.
Lahassakar : les génies du ciel sont d'antiques puissances du vent et du soleil, vieilles et fatiguées elles ont acceptés leur défaite face aux divinités plus ambitieuses qui peu a peu les remplacent et ne sont plus l'objet que d'un culte déclinant notamment de la part des peuples oiseaux. Amers ou bonhommes elles se sont résolues a accepter leur inéluctables disparition.
Llankhmar : ce n'est pas un hasard si ce nom évoque celui de l'obscure Citée labyrinthique de Newhon, car celle-ci recèle en son sein derrière les portes de fer terne d'une tour cyclopéenne, ceux qu'on appelle les "Dieux de Llankhmar" : de mystérieuses entités morts-vivantes auquel nul culte n'est rendu et dont on ne parle pas sans crainte.
Ma'At : pour ce que l'on en sait ces puissances ont vue le jour sur les rives du fleuve d'Outreterre qui donne son nom a leur panthéon. Leur véritable origine reste plus ou moins mystérieuse si ce n'est que "huit les y ont précédés qui en sont la source". De ces huits ils ne reste que Rê, et père de tous les autres qui s'est retiré dans le silence et la solitude ainsi qu'Anubis et Ptah qui se séparèrent après une querelle dont on ignore l'objet.
Mana-Tapu : Ces quelques entités archiélémentaires sont issus de la matière primordiale qui constitue le multivers. bien qu'elles se sentent peu rarement concernés par les affaires des mortels et soient plus considérées comme les tyrans des Plans Intérieurs ces puissances lointaines sont parfois vénérées dans l'espoir de s'attirer leur faveurs pour les Manas ou par crainte de s'attirer leur courroux dans le cas des Tapus.
Modrone : la curieuse configuration de la société modrone, conduit chaque unité a ne reconnaitre que son supérieur et subalterne direct. En conséquences seules les agents les plus hauts placés de la chaines décisionnelle peuvent appréhender l'existence de la puissance motrice de leur espèce a la manière dont le tissus d'interconnections d'un système nerveux n'implique pas pour le récepteur final d'avoir la connaissance de l'émetteur initial.
Naga : divinités écailleuses des sauriens elles sont vénérés au cours de rites chtoniens brutaux, orgiaques et sanglants pratiqués par de petites sectes peu organisés de Khaastas, les hommes lézards. Il s'agit d'une survivance d'un temps révolus et ces puissances primitives sont, a l'instar de leurs adorateurs, profondément hostiles aux races plus jeunes, jalouse d'une époque où leur domination était incontestée.
Nouveaux Dieux : appelés ainsi de manière péjorative leurs temples rivalisent pour obtenir le meilleurs pas-de-porte sur l'Avenue du Carnaval du Quartier de la Dame a Sigil. Ces puissances souvent éphémères éclosent comme autant de fleurs en bourgeon, font trois petits tours au grés des caprices des mortels, pour quelques années ou quelques décennies dans le meilleurs des cas, avant de sombrer dans l'oubli et de rejoindre le grand cimetière de l'Astral.
Olamites : cette jeune religion se veut monothéiste prônant l'existence d'un seul et unique véritable Dieu et réfutant celle de toutes les autres, et ce malgré les problèmes théologiques que posent a une telle attitude l'existence effective d'autres Puissances. Ce culte a pris naissance aux franges de l'empire d'Ordos et séduit de plus en plus de membres de l'Harmonium ainsi que (malgré leurs dénégations) quelques autres factions Sigiliennes.
Olympiens : de toutes les puissances ce sont les plus bruyantes, vantardes, fougueuses, rouées, inconstantes, vindicatives, égoïstes, passionnées, querelleuses, généreuses... en sommes les plus semblables aux mortels par leurs vertus et leurs vices, ni plus intelligents, ni plus sages. Les récits où ils entrent en scène, souvent tragiques, sont parsemés d'épisodes de vindicte, d'héroïsme, de fureur ou de romance sont propres a enflammer l'imaginations de la plupart des péquins en ont fait la représentation privilégiée de ce qu'est une divinité au yeux du commun des mortels.
Prime : il y a tant de divinités adorées sur le Plan primaire qu'il est inutiles de les répertorier toutes d'autant que certaines ne sont connues que dans une région isolée de leur petit monde et que beaucoup ne sont que rarement présentes sur les plans. Bien que certaines soient trés anciennes la plupart ne survivent d'ordinaire qu'aussi longtemps que survit le peuple ou la culture qui par sa foi les a engendrées.
Seigneurs Abyssaux : parfois dans les profondeurs sans fins des Abysse un Tanar'Ri par sa ruse ou sa brutalité, s'élève au dessus de ses pairs régnant par la terreur sur des hordes infernales millions de démons. Les plus puissants de ceux là pourraient rivaliser avec les dieux et dominer le multivers s'ils n'étaient pas déjà trop occupés a s'entredéchirer avec leurs pairs.
Slaadi : communément désignés sous le sobriquet de "Ducs du Chaos", pour la plupart ce ne sont pas des puissances au sens où la plupart des biges l'entendent, mais plutôt la forme ultime de l'évolutions slaade, pour ce que l'on en sait. Leur culte est resté relativement confidentiel en dehors des Slaades eux mêmes qui ne semblent pas avoir un avis bien arrêté sur le sujet et vont parfois s'offrir en sacrifice pour les honorer en les défiant dans un duel a mort.
Sylvestres : ces petites dieux des forêts sont souvent l'objet d'une vénération mêlée de familiarité de la part des humbles habitants des bois et des campagnes tout comme des paysans locaux qui les considèrent plus comme des esprits protecteurs que comme des puissances véritables.
Tuhatas : ces presqu'immortels, pour certains parents ainés des fées et des elfes, âmes de la beauté des choses du mondes, esprits des bois et du foyers, génies familiers ou malveillants. En des âges reculés ils étaient sous le joug des Fomorians, Leur premier haut-roi ou daghdha s'appelait Nuada, c'est lui qui les conduisit dans leur lutte pour la liberté, bien qu'il soit mort aujourd'hui sa mémoire est célébré part tous comme le plus grands de leurs héros... Ils sont depuis devenu l'objet de culte. Ils forment une famille disparate de divinités capricieuses qui considèrent Tir Na Og comme leur Sanctuaire et bien que certains aient leur propre domaines ils le chérissent sous comme leur foyer
Véda : : les Upaniçad ont étés les artisans de la Création et continuent d'entretenir celle-ci depuis l'Atman leur fabuleux sanctuaire qui s'étend a travers les plans supérieurs depuis Mecanus jusqu'aux Limbes. Ces puissances ont connues bien des réincarnations depuis qu'elles sont venues au monde. Contemporains de Masha et Ymera, les premiers dieux. Ils savent que certains secrets d'avant le temps ne sont pas fait pour parvenir aux mortels et ne les divulguent jamais a la légère.
Zerth : la secte, a majorité Githzeraï, se réclament comme disciples de l'enseignement du Prophète et cherche a parvenir a la pleine *compréhension* des préceptes édictés dans ce que l'on nomme communément l'Évangile de l'Acier et consignés par le sage a travers les huit cercles ininterrompu qui sont autant une chronique historique qu'une méditation philosophique. Par certains points la philosophie de la secte rejoint celle de l'Ordre Transcendantal, de là a prétendre qu'elle serait a la source des croyances des chiffonniers il n'y a qu'un pas que certains n'hésitent pas a franchir.