« Salut matois, la nostalgie c'est une fichue gueuse, pire que la pire des malédiction qu'un fielleux peut inventer, pire que la pire des bibes qu'on te sert au rat tacheté ou au cadavre enflammé et aux moins autant que d'avoir un collecteur des sans-cœurs collé a tes basques ! Du coup me v'la de retour dans les traboules de la cage a mater l'paysage - enfin pour ce que la brume m'en laisse entrevoir -, a humer les "fragrances" de la ruche, a filer la métaphore avec les chiffronniers et a guetter l'ombre de Sa Sérénissime au seuil de chaque portail. Affûtez vos tranchoirs-a-bige coquerets de poils et d'écailles, on va aller s'faire d'la maille et voir si les enfers ne sont toujours que neuf comme dirait la chanson ! »
Suis sérieusement en train de réfléchir a une reprise, pour l'année prochaine. Peut-être sur la mécanique de Nobilis ? Plus d'infos a la rentrée, selon le sens du vent, pour peu qu'il y ait une poignée de personnes intéressée et si l'envie est toujours là (ça en fait des conditions suspensives, hé, embrumé !)
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« La seule vérité du multivers c'est que la classe, il y en a qui l'ont et d'autres pas. Moi je l'ai et toi, tu l'as pas. »
—Factole Rhys de l'Ordre transcendental, au Grand Oratorium, suite a un échange un peu vif avec le Factol Sarin de l'Harmonium—
« Ce qui est bien avec les guerres civiles, c’est qu’on peut rentrer manger à la maison. »
—Général Robert E. Lee en partance pour Gettysburg—
« Chaque jour, une fois par jour, faites vous un cadeau. Ne le planifiez pas. Ne l’attendez pas. Laissez le venir. Cela peut être une nouvelle chemise, une sieste dans votre bureau, ou deux tasses d’un bon café noir bien chaud. »
—Agent Dale Cooper, au Double R Diner en compagnie du Sherif Truman, méditant sur l'opportunité de reprendre ou non de la tarte—